Je rêvais de plan BDSM uro avec une Maîtresse

Catégories : Boutique BDSM Fétich médical et ABDL Facesitting lèche FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem Champagne doré pipi culotte uro Golden shower
il y a 8 ans

J’ai erré pendant des mois, que dis-je des années sur des forums et sites de rencontres BDSM en recherchant la déesse de tous mes rêves et fantasmes.

A chacun ses fantasmes, les miens portaient sur des plans uro avec une Maîtresse. Je me voyais obligé de lécher sa chatte et ses fesses pendant des heures et surtout d’être obligé de la lécher après qu’elle soit allée faire pipi. Combien de fois me suis-je caressé devant les vidéos et photos de ce style ? Des centaines et toujours en rêvant d’être à la place des soumis transformés en latrine.

La chaise facesitting uro me faisait rêver. L’idée d’être allongé là dessous, menotté et sous cage de chasteté me rendait fou. J’imaginais ma Maîtresse assise sur cet accessoire profitant de ma bouche. La vue de dessous de son intimité sublimerait mes sens. Laper son minou épilé pendant des heures ne pouvait qu’être sublime. Telles étaient mes pensées et fantasmes. J’allai été servi au delà de mes espérances !

J’ai donc erré pendant des mois, que dis-je des années sur des forums et sites de rencontres BDSM en recherchant la déesse de tous mes rêves et fantasmes. J’y ai appris à communiquer avec les Maîtresses, à les appeler Madame et non pas Maîtresse, à ne pas être trop demandeur, à faire une belle annonce. Au départ j’avais écrit « ch maitresse », on m’a expliqué, et pas toujours avec élégance, que lorsque l’on est demandeur on fait des efforts d’écriture et de présentation.... Et puis un jour, après avoir fait des progrès sur ma façon de me présenter, c’est sur Fessestivites qu’une lueur d’espoir est apparue.

Maîtresse Katia m’a testé deux fois via en webcam via chat.

Elle me faisait faire des trucs humiliants comme lécher mon slip ou mettre mes chaussettes sales dans ma bouche. J’ai eu droit aux pinces à linge sur les seins, sur les testicules et la langue à en baver pendant une demi-heure. Lorsqu’elle a constaté que je n’étais pas qu’un fantasmeur, elle m’a demandé mon adresse pour me faire un cadeau. Je pleurais de joie quand le colis est arrivé. Elle m’avait offert une de ses culottes portées ! Je l’ai sentie, touchée avec une trique d’enfer. Le soir même j’ai du dormir en cam avec sa culotte dans ma bouche maintenue par du scotch. J’avais installé mon ordinateur portable sur une chaise et bloqué la mise en veille. J’ai bien mis une heure à trouver le sommeil.

Pour le premier rendez-vous, elle m’a imposé d’acheter un cadenas pour cage de chasteté à combinaison chez ABCplaisir en demandant au webmaster de lui adresser le code. Ce cadenas m’a servi à me mettre sous cage de chasteté et à lui confier ma sexualité.

Lors de ce test, toujours en chat webcam, Maîtresse Katia m’a demandé quel cadeau je comptais lui offrir. Là j’ai commencé à me poser des questions. Etait-elle vénale ? Sa réponse a été claire :

  • Quand un homme cherche a séduire une femme, il lui offre des fleurs et l’invite à dîner dans un restaurent. Moi je préfère qu’il m’offre un accessoire que je choisis avec lui et en fonction de ses fantasmes puis des miens. Ainsi, il n’arrive pas les mains vides, me fait plaisir et se fait plaisir aussi puisque j’utiliserai l’accessoire de ses désirs. Si cela ne te convient pas, on arrête là.

Je me suis platement excusé d’avoir douté, il est vrai qu’elle ne m’avait jamais parlé de relation tarifée et ce n’était présentement pas le cas. J’ai donc commandé une cagoule uro sexe dans les trois accessoires qu’elle m’avait proposé.

Nous étions le lundi, la cagoule uro sexe est arrivée le mercredi, je devais la tester pour voir si je la supporterai, sa crainte était que je sois claustrophobe et gâche sa soirée. Rien que de la mettre m’a rendu fou ! ! ! Je bandais comme un âne dans ma cage de chasteté à m’en arracher les testicules. Si j’avais pu me caresser, j’aurai projeté un litre se sperme au plafond ! J’exagère ok, mais c’est pour essayer de vous décrire l’état dans lequel j’étais.

Je me suis donc pointé au rendez-vous fixé sur le parking d’un MacDo le vendredi soir avec une heure d’avance. Le deal était que si j’étais à la hauteur de ses espoirs, je reste en son logis pour la servir tout le week-end. Le moindre retard risquant de tout compromettre, vous comprenez sûrement pourquoi je suis arrivé avec une heure d’avance. Cette heure fut longue, surtout que Maîtresse Katia est arrivée avec une demi-heure de retard. Grande, fine sans être maigre, cette femme âgée de quarante-sept ans en paraît trente-cinq. Ses longs cheveux noirs soyeux en font une délicieuse panthère.

Lorsque j’ai pris place dans son véhicule, Maîtresse Katia a découvert qu’en plus de la cagoule uro j’avais décidé de lui offrir un bouquet de fleurs et une bouteille de champagne. Ce m’a valu un remerciement de principe et de me faire gronder puisque je m’étais autorisé à lui offrir plus qu’elle ne l’avait demandé. Une fois ma ceinture de sécurité posée, elle m’a bandé les yeux avec des lingettes démaquillantes et une bande médicale m’interdisant ainsi de savoir où nous allions. Même pour un homme montant en voiture avec une femme, j’avoue que ne pas savoir est un peu angoissant. Arrivés à son domicile s’avérant être une magnifique villa isolée, Maîtresse Katia a libéré ma vue et invité à porter les courses rangées dans son coffre ainsi que mon sac d’effets personnels.

  • Alors comme ça petit soumis, tu rêves de me servir ?

  • Oui Madame.

  • Tu rêves aussi de mater ma chatte et mon cul puis pourquoi pas celui d’autres Maîtresses ?

  • .....

  • En clair tu es un voyeur ?

  • Si je peux me permettre Madame, le corps d’une femme est un chef d’œuvre de Mère Nature, comment ne pas apprécier d’y poser les yeux ?

  • Tu ressembles bien au beau parleur du site, si j’aime bien la répartie, il ne faudra pas en a b u s e r. Voici les règles de la maison. Si tu oses toucher une femme sans sa permission, je te massacre au fouet et te jette nu au milieu d’un parking de supermarché. Tu ne parles à aucune femme sans sa permission sauf en cas d’extrême urgence. Tu devras veiller à mon bien être et à celui de mes invités si tu réussis à rester jusqu’à demain. Faire preuve d’initiatives est une bonne chose, exemple remplir des carafes d’eau, desservir la table, ..... Toutefois, mesures bien tes initiatives, certaines peuvent te coûter très cher. Je vais te montrer ta chambre ! Conclue Maîtresse Katia en partant dans la maison.

Ma chambre s’est avérée être un cagibi fermé par une grille avec un matelas et un seau comme seul mobilier !

  • Mets tes affaires dans ta chambre et met-toi à poil !

Je me suis exécuté sur le champ avant de recevoir l’ordre de me mettre à genoux devant elle. Maîtresse Katia m’a posé un collier de soumis en fer qu’elle a cadenassé puis la fameuse cagoule uro que je venais de lui offrir. A la suite de quoi elle m’a conduit à quatre pattes avec une laisse dans son logis pour me mettre en attente dans son salon en position six. Sous la cagoule serrée, j’avais chaud et n’entendais rien d’autre que ma respiration si bien que j’ai eu peur, lorsqu’elle est revenue et a tiré sur ma laisse. Invité à m’étendre sur le sol à même le carrelage froid, j’ai senti quelque chose toucher mes lèvres par le trou de la cagoule. J’ai donc ouvert ma bouche pour le laisser entrer.

  • C’est un Urinoir féminin pisse droit ! Là j’ai envie de t’offrir un peu de mon champagne. Si tu en fais couler par terre tu devras lécher et sera fouetté !

Et là, la belle m’a enjambé et s’est positionnée au dessus de ma tête. Son champagne a ruisselé dans Urinoir féminin pisse droit. Par chance elle a dosé, je ne me suis pas « noyé ». Il était assez fort en goût mais j’ai fait l’impossible pour tout prendre. Quand elle a retiré Urinoir féminin pisse droit, j’ai été complimenté et j’ai eu droit à une sublime récompense : tirer la langue par le trou de la cagoule pour essuyer ses délicieuses lèvres intimes que je ne pouvais hélas voir.

Abandonné là, étendu à même le carrelage, je planais sur un petit nuage, avais-je trouvé la Maîtresse de mes rêves ? Lorsqu’elle est revenue me chercher, elle m’a fait retirer la cagoule pour me conduire à la cuisine pour une découverte et la prise de mes fonctions de « boniche ». Equipé d’un petite tablier ouvert sur l’arrière, j’ai du mémoriser où se trouvaient les choses pour le service de table du soir et prendre toutes les consignes. J’attendais patiemment en cuisine lorsque la sonnette a retenti me faisant un peu angoisser. Madame Maryna une Maîtresse exceptionnelle et son soumis soumickey étaient invités. Ils sont beaux à voir tous les deux de par l’amour et la fusion BDSM qu’ils dégagent.

J’ai surtout découvert soumickey au départ qui fut délégué comme aide en cuisine, nous avons pu échanger autour de nos passions BDSM. Rappelé à l’ordre par nos Maîtresses, nous avons pu leur servir l’apéritif et les amuses bouches. Comme il n’y avait que deux assiettes, nous en avons déduit que le repas se déroulerait d’une façon différente qu’une soirée conventionnelle entre amis. Ce fut le cas, après les avoir servi, nous avons découvert que Maîtresse Katia nous avait prévu deux gamelles de chien. Il est difficile de manger proprement sans les mains.

C’est entre la poire te le fromage qu’elle s’est décidée à me présenter puis, sans aucune pudeur pour moi à parler de mes inspirations et fantasmes. J’étais très gêné qu’elle dévoile ainsi à des inconnus les pratiques qui m’attirent. Madame Maryna ne s’est pas privée de commenter et de m’interroger avant d’ordonner à soumickey de se présenter lui même. Les cafés servis, nous faisions la vaisselle quand les belles sont arrivées par surprise. Madame Maryna tenait en ses mains deux magnifiques fouets me terrorisant. Invités à les suivre, nous avons du présenter nos fesses nues aux lanières cinglantes. N’étant pas habitué, j’ai un peu couiné, un peu trop d’après Maîtresse Katia qui lui a demandé de me punir de deux coups appuyés. Deux marques que j’ai portées avec fierté pendant plus d’une semaine. En frère de soumission nous avons du nous embrasser (pas vraiment mon truc) pendant qu’elles se distrayaient un peu sur nous, Maîtresse Katia avec un énorme martinet, Madame Maryna avec ses fouets.

  • Que penses-tu de ce soumis ? Demanda Maîtresse Katia.

  • Pas très endurant mais il a l’air de savoir ce qu’il veut. Où sont les toilettes s’il te plait ?

  • Devant toi ma belle ! Lui a répondu Maîtresse Katia avant de m’ordonner d’aller chercher la cagoule uro que je lui ai offerte. Vois-tu ce soumis est un gros coquins voyeur, il apprécie autant le champagne doré que de mater l’intimité de la donneuse. J’ai donc opté avec lui de le mettre sous cagoule pour lui apprendre à nous respecter.

  • Excellent idée, de toute façon, ils rêvent tous de nos chatons.

  • Si tu désires te retirer pour te soulager, tu peux le conduire à la salle de bain.

  • Non, ta présence ne me gêne en rien, d’ailleurs c’est soumickey qui va l’installer comme j’aime et tenir Urinoir féminin pisse droit qu’il vient d’emmener avec cette cagoule qu’il va lui mettre.

Soumickey m’a demandé de me mettre à genoux pour me poser la cagoule qu’il a serré fortement. Il a ensuite tiré ma tête en arrière et fait asseoir sur mes talons avant de mettre l’entonnoir dans ma bouche via le trou de la cagoule. Madame Maryna m’a prévenu que si j’en mettais sur le sol et en gâchais, elle me le ferait regretter au fouet. Même si mes fantasmes se réalisaient, chose me comblant de bonheur, je n’étais pas fier et avait peur car elle n’a pas l’air d’une Maîtresse qui ne tient pas ses promesses !!!!! Le flot est arrivé d’un coup, même dosé j’avais du mal à tout avaler. J’étais tellement inquiet et désireux de ne pas décevoir ma Maîtresse que je n’ai pas vraiment savouré l’instant tellement j’étais concentré sur le fait d’avaler rapidement sans m’étouffer. Ce n’est pas moi qui ait eu l’honneur de la goutte mais soumickey, quel veinard, il n’était pas cagoulé !

La soirée se déroula ensuite comme une soirée entre amis, jusqu’au moment où j’ai été apprêté pour la nuit. Invité à me pencher en avant sur le canapé pour bien présenter mes fesses, je m’attendais à recevoir des coups de martinet. Il n’en fut rien, Maîtresse Katia m’écarta les fesses avant de lubrifier mon anus pour y introduire un gros plug muni d’un anneau. Le passage fut difficile, mes couinement furent ponctués de claques sur mes fesses et d’une grande claque sur mes testicules pour « m’aider à me décontracter »..... Quand il a fini par passer, j’avais vraiment l’impression d’être « plein » et d’avoir la « rondelle en feu ». Sans plus de considération, elle mit une chaînette dans l’anneau du plug puis en fit un string quelle verrouilla avec un cadenas. Je dus baiser les pieds de Madame Maryna et de Maîtresse Katia avant d’être invité à me rendre à ma chambre dont la porte de la grille fut cadenassée.

Si la nuit fut difficile, dormir dans une cage en étant plugué et sous cage de chasteté, n’est pas des plus confortable, j’étais ravi. Maîtresse Katia avait décidé de me garder pour le week-end, j’avais donc réussi mon examen d’entrée. Le lendemain, j’avais mal partout ! Après avoir été libéré de ma chambre, avoir déjeuner et avoir pris une douche, j’ai fait du ménage et le service de table du midi puis, l’après-midi du jardinage en restant intégralement nu.

J’AI UNE SURPRISE POUR TOI

  • J’ai une surprise pour toi ! M’a annoncé Maîtresse Katia aux alentours des 18 heures. Tu es effectivement fan d’uro, tu sembles être un bon soumis, je vais donc faire deux choses. La première te faire plaisir, la deuxième te tester encore avant de décider si oui ou non je te prends à mon service. Regarde ce que j’ai pour toi !

Maîtresse Katia agitait sous mes yeux une cagoule entonnoir BDSM avec un sourire jusqu’au oreille.

  • Désires-tu vraiment entrer à mon service et porter mon collier de soumis ?

  • Oui Madame, ce serait un honneur et un bonheur pour moi.

  • Alors passe tes dernières épreuves sans rechigner et nous verrons ça sans trop tarder.

  • Allonge-toi sur le canapé. Il faut que je te mette une couche.

  • Pourquoi faire Madame ?

  • Parce qu’il est hors de question que tu souilles ma terrasse. Fut la seule indication qu’elle me donna.

Les jambes en l’air tel un bébé, je lui ai offert une vue imprenable sur mes fesses. Elle en profita pour me remettre le gros plug (aie) avant de fermer la couche dont elle consolida les attaches avec du gros scotch d’emballage. J’avais honte, j’étais blême mais je n’ai rien dit. C’est donc avec une grosse couche comme seul vêtement que j’ai été conduit sur la terrasse où m’attendait effectivement une grosse surprise pour la soirée.

Du matériel de bondage était posé en vrac devant un des piliers de la terrasse. Elle m’invita à m’asseoir le dos contre le piler avant de bloquer mes poignets derrière avec des menottes. Elle serra mes jambes avant de les entraver avec des bracelets de cheville. A la suite de quoi elle me mit la cagoule entonnoir BDSM permettant de « voir venir les choses et la donneuse ». Rien que d’y penser, dans ma cage de chasteté mon sexe fut pris de convulsion. Là où je me suis inquiété c’est quand elle a rajouté une sangle sur mon front qu’elle a serré fortement pour que je ne puisse pas bouger ma tête bloquée contre le piler.

Abandonné là avec mes inquiétudes et mes folles pensés, j’ai vu le soleil se coucher puis arriver des voitures. Entravé au pilier, j’étais blême lorsque les couples passaient devant moi. Si être vu entravé ne me gênait pas plus que ça, l’être en couche avec une cagoule entonnoir BDSM dont le tube entrait dans ma bouche était quand même hard. La suite le fut bien plus !!!!!!!!!!!!!!!!

Je trouvais le temps long entravé tout seul sur la terrasse. Lorsque Maîtresse Katia divinement vêtue d’une robe de soirée lui arrivant au genoux est arrivée dans la pénombre, mon coeur s’est mis à battre. Elle s’est approchée de moi et a soulevé sa robe pour enjamber l’entonnoir. Entre la pénombre et avec la tête sa robe je ne voyais rien, par contre, l’arrivée de son champagne doré a électrisé mes sens. Son nectar galvanisa les ardeurs de ma verge qui, de son côté, goutta l’étroitesse de ma cage de chasteté. A mon plus grand regret, elle ne put m’offrir la goutte à lécher et s’essuya avec une lingette qu’elle jeta dans la petite poubelle à côté de moi. J’allais donc être réduit à l’urinoir de ces dames pendant toute la soirée, du moins le pensais-je. Un petit moment plus tard, une autre dame vint soulager sa vessie sans aucune considération pour le pauvre soumis qui peina fortement pour avaler son « litron » vitesse grand V.

L’HORREUR !

Conduit en laisse par une dominatrice cruelle, un soumis fut obligé d’uriner dans mon entonnoir, invité....... à grands coups de cravache pour qu’il se presse. J’ai cru vomir, j’avais une rage monstre et envie de tout arrêter mais on ne me laissa pas le temps de formuler mes pensés, chose qui plus est, difficile à faire avec un bâillon uro et le tube d’un entonnoir dans la bouche. L’horreur continua quelques minutes plus tard avec une autre Maîtresse qui avait du se retenir depuis le matin avec comme but de me noyer ! Si bien qu’après son départ, ce fut ma vessie qui rendit l’âme dans la couche. Cette nuit là, j’ai réellement servi de toilettes à huit personne qui n’avaient pas plus de considération pour moi que celles que l’on peut avoir pour des vespasiennes.

Le comble de l’humiliation a été d’être obligé de soulager ma vessie dans une couche !!!!!!!

Les invités partis, Maîtresse Katia est venue délivrer mes jambes avant de soulager sa vessie en me félicitant. Après m’avoir offert son champagne elle m’a retiré la cagoule et m’a confié son chaton à lécher. Au lieu de se faire juste laper la goutte, elle s’est offerte à ma langue un bon moment avant de se décider à me libérer.

  • Vient avec moi, tu as droit à ta récompense mais avant, va te laver les mains et la bouche sans tarder, j’ai envie de toi.

Même avec une couche pleine, j’ai fait du footing jusqu’à la salle de bain. A mon retour au salon, elle était allongée sur le canapé. Un petit coussin posé sur le sol entre ses jambes désignait la place qui m’attendait. J’ai enfin pu savourer sa tendre intimité qu’elle a fort belle et lui donner du plaisir. Et là, elle m’a indiqué que j’avais réussi toutes les épreuves et m’a proposé le collier que je porte aujourd’hui avec fierté.

Ecrivaillon

QUELQUES LIENS

LIRE des histoires érotiques de domination féminine

FORUM BDSM domination féminine

Voir près de 5000 photos SANS PUB de domination féminine

Voir près de 12000 vidéos SANS PUB de domination féminine

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !

UNE BOUTIQUE BDSM à découvrir

ICI il y a 365 idées de punition ou jeux, une par jour avec mixité des fétichismes

ICI il y a près de 1000 idées de punition ou jeux

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement